A la recherche de Clay. (Pv Clay)

Un jour elle se retrouverait là, elle aussi. À devoir jouer la fille sérieuse, et a réussir à décrocher de bonnes notes. Mais aujourd'hui elle était là, pour jouer la fille sérieuse juste cinq minute, et pour décrocher le beau gosse. Elle portait une jupe sans aucun plis juste au dessus des genoux, elle était noire. Un chemisier blanc en soir, ainsi que des escarpins noirs qui faisait pas mal de bruit quand elle marchait sur le marbre du couloir. Ses lèvres rouge souriait à chaque personne qu'elle croisait et de temps en temps elle baissait ses petites lunettes noires pour avoir vraiment mine d'une secrétaire importante. Elle avait les cheveux relevé en chignon, et faisait deux fois plus que son âge. Elle marchait la tête haute s'arrêta soudainement. Salle 208. Il devait être là, le frère de Madison, le frère de la reine, le heartbreaker, celui qui avait couché avec Mégane puis June... Le beau Clay. Alannah, passa la langue sur sa lèvre supérieur, et serra le petit carnet contre sa poitrine. Pourquoi était elle là ? C'est la question que vous vous posez les enfants. Alannah, avait toujours eut un petit faible sur ce jeune homme. Dès qu'elle le voyait sourire elle avait une sorte envie, d'aller l'embrasser comme une folle et de lui faire l'amour jusqu'au petit matin. Non, elle n'était pas amoureuse, elle le kiffait juste. Mais ce n'était pas tout. Clay était le frère de Mad', Mad serait jalouse qu'Alannah ait couché avec lui. Oui car Mad' avait révélé que si Clay n'était pas son frère, et bah elle l'aurait croquer à pleine dent. Alannah, aspira profondément, et frappa à la porte et sans attendre de réponse elle l'ouvrit en grand et vit quelques têtes d'élèves ainsi que Clay assit au fond de la classe. Avant qu'elle ne put parler, un petit prof sans doute gay s'approcha d'Alannah et lui demandant se qu'elle voulait.

-Euh... Excusez moi, quelqu'un de très important demande à parler à Monsieur Evans !

Elle regarda du coin de l'oeil la réaction de Clay. Il ne fit pas très enchanté, et se leva en faisant un boucan pas possible avec sa chaise, et sortit par la porte devant Alannah, sans même la regarder. Alannah referma la porte et suivit Clay qui attendait impatiemment dans le couloir. Puis il leva les yeux vers elle et demanda:

-Alors ou est-elle cette personne ?

Il avait l'air épuisé, pourtant ca faisait un baille qu'il n'avait pas mis les pieds dans une discothèque... du moins personne ne l'avait aperçut. C'était donc les études qui lui prenait tout ce temps. C'était affreux, maintenant que Alannah était là elle s'occuperait bien de lui croyait moi. Elle s'approcha de lui, le poussa contre un casier laissant sa main sur son torse et en étant à 5 centimètres de lui.

-Et bien tu ne me reconnais pas ?

Alannah, enleva les lunettes secoua rapidement la tête, pour que ses cheveux se détache. Et ouvrit légèrement son chemisier pour laisser place à une belle vue au jeune homme. Avec ses talons elle était un peu plus grand que lui. Le sentir près d'elle c'était si... si fabuleux... Elle avait envie de le déshabiller et de l'embrasser langoureusement partout. Clay mit un petit temps avant de comprendre que c'était Alannah. Pourtant ils se connaissaient, oui, ils avaient déjà bu des petits verres et s'était un peu provoqué. Mais Alannah n'avait pas eut le temps d'y toucher que Madison, lui avait arraché à la bouche, pour qu'il la ramène chez elle.

Vous vous êtes déjà ennuyé à mort ? Un cours tellement barbant que vos paupières s'alourdissent, comme si vos cils avaient trempé dans du ciment ! C'était le cas pour Clay. Il s'emmerdait. Enormément. Il en avait assez de son prof qui radotait avec sa voix aux effets soporifiques sur la peine de mort. Pour ou contre. Voilà la question qui se posait avec un titre bien évocateur et qui appelle au patriotisme plus qu'à la justice : Peine de mort, une honte pour les USA ? Un débat qui devrait en intéresser plus d'un. Mais à part les quelques élèves engagés que ça ne gênait pas de ressortir cent fois les mêmes arguments personne ne semblait manifester l’envie d’engager un discours enflammé sur la barbarie du système judiciaire. Et puis il y avait toujours la petite grosse tête d'America. Oui oui, elle s'appelle America. Des parents artistes délurés à l'esprit ouvert ? Ou bien une grand-mère sadique qui voulait foutre la honte à un chérubin ? Qui sait ! Eh bien, elle a toujours son mot à dire. Souvent elle proteste, mais des fois elle parle pour approuver le professeur. Pour ne rien dire en fait. Ce que Clay jugeait parfaitement inutile. Et aujourd'hui, le jeune blond a eu à entendre sa voix encore. Un vrai supplice. C'est qu'elle a une voix de dessin animé, genre un mix de Mickey et Minnie. Les voix tellement horribles qu'on regrette les Disney muets !

" Pourquoi donner une chance à des hommes dont on est sûr qu'ils récidiveront ? Croyez-vous que le gouvernement déjà envahi par les problèmes de société, d'économie et j'en passe a le temps de se pencher sur le cas de quelques hommes qui ont commis le pire ?"

Une de ces envies de se lever et de crier "MAIS TA GUEULE" prit le jeune blond. Il espérait un miracle, une ouverture. Et la porte s'ouvrit. Fallait-il se mettre à croire en Dieu ? Ou peut-être était-ce un quelconque pouvoir qui se manifestait. Oui, peut-être Clay se transformait-il en super héros ? Ah, la fac de droit, ça vous lobotomise un cerveau. Ce n'était qu'une secrétaire. Mais c’aurait pu être une vieille femme de ménage fripée, Clay lui aurait sauté au cou en lui hurlant "Merci". Tout est bon pour interrompre la pipelette d'Amérique. Et donc c'était une secrétaire. Plutôt bien roulée d'ailleurs. Quelques sifflements retentirent mais se turent vite après un regard assassin du professeur. Il avança de sa démarche limite chaloupée, un roulement des hanches parfait, dévoilant ainsi son orientation sexuelle. S'ajoutaient ensuite les vêtements collants et les appels bizarres où il roucoulait au téléphone. Bref, la secrétaire. Elle était vachement jeune. Une stagiaire ? Ou un coup de cœur du directeur des lieux ? Ah bah, comme tout établissement public new-yorkais, il y avait le vieux pervers qui s’offrait des petites gâteries par de belles secrétaires en manque d’argent.

-Euh... Excusez-moi, quelqu'un de très important demande à parler à Monsieur Evans !

Il devait halluciner là. On le demandait ? Quelqu’un de très important ? Il avait comme un mauvais pressentiment... C’était peut-être sa mère. Oui, sa mère était capable de débarquer comme ça à l’improviste juste pour réclamer un câlin. Il pouvait bien être en cours, à l’hôpital en train d’agoniser u en prison, il ne valait mieux pas refuser un caprice de Magda Evans. L’idée que sa mère vienne lui faire une scène à la fac le foutait en rogne. Bruyamment, trèèès bruyamment il rangea sa chaise et quitta la salle. Un peu sur les nerfs encore par cette heure d’ennui, par là voix de gamine de cette crâneuse et par ce départ pour les griffes de sa mère, il passa devant la charmante jeune femme sans lui accorder un peu de son attention. Puis brusquement il se retourna, et alors qu’ils avançaient, il s’enquit sur l’identité de cette personne importante.

-Et bien tu ne me reconnais pas ?

Il ouvrit grand les yeux le temps de comprendre la situation. La secrétaire venait de le plaquer contre un casier et posait une main sur son torse tout en posant sa question avec une voix aguicheuse. Elle était sexy en diable... D’abord il ne la reconnut pas. Puis quand elle détacha ses cheveux il y eut un déclic. Ces yeux, ce regard de prédatrice, ce visage... C’était une des amies de Mad’ ! Enfin, amie, un bien grand mot ! Elle était dans l’Elite en tout cas. Qu’est-ce qu’elle foutait ici ? Et surtout, pourquoi elle lui sortait ce grand jeu ? C’était suspect tout ça ... Putin, comment il allait sortir de là ? Pouvait-il sortir ? Qu’est-ce que cette jeune fille allait lui faire ? Qui sait si elle était pas du genre collectionneuse compulsive de photos de mecs soumis ? Clay se voyait mal attaché à un lit un canard en plastique dans la bouche et le corps couvert de rouge à lèvre... Enfin, il n’y avait que Crystal pour pouvoir l’embarquer dans ces trips là...

Clay posa ses mains sur les hanches de la demoiselle avec un de ces sourires en coin, puis il inversa la donne. Alannah plaquée contre les casiers. Il préférait comme ça, avec le couloir comme échappatoire pour courir comme un dératé au cas où si elle avait un couteau ou un truc tranchant qui pouvait faire mal. C’était plus probable qu’une fille comme elle ait une lime à ongle... Ou une pince à épiler ! Eh ! On peut tuer avec une pince à épier croyez-moi !

- Oui ! oui je te reconnais... Marcia ?

Elle sembla déçue. Merde, il s’était trompé. Pourtant il aurait juré qu’elle s’appelait Marcia. Bah elle avait une tête pour ce prénom... ou pas.

- Oui ! oui je te reconnais... Marcia ?

Alannah leva les sourcils, ça avait été classe quand il avait posé ses mains sur ses hanches, mais Alannah, aurait préféré qu'il reste muet finalement. MARCIA ! De un quel était le genre de parents à appeler sa leur fille Marcia, puis de deux Alannah avait-elle une tête à s'appelait comme ça ? Elle n'était pas femme de ménage, non mais oh! Elle le regarda et roula des yeux, le poussa légèrement, pour qu'elle ne soit plus adossé aux casier. Alannah fit une mine dégouté et lui fit un sale sourire hypocrite, qui la rendit encore plus désirable. Alannah, pensait qu'il aurait pus au moins connaître son prénom, pour que cela prouve qu'elle n'était pas invisible, et qu'il l'avait déjà repéré auparavant. Mais non. Il n'avait même pas la première lettre de bonne. Elle posa sa main sur son épaule et lui dit :

-Tu me déçois Clay.Je crois qu'on en a finit... Il te reste plus qu'à rentrer en cour et à faire semblant de ne pas t'ennuyer. C'est bien dommage en tout cas.

Et Bim, prend ça en pleine gueule petit Clay. Sache que ce que les filles détestent le plus c'est qu'on se trompe de prénom, surtout avec une autre fille qu'on connaît. Alannah lui lâcha un dernier regard perçant et se retourna, et commença à longer le couloir pour sortir de cette université. Elle commença à se rattacher les cheveux quand son poignet fit attraper brusquement. Alannah se retourna lentement, et se mordit la lèvre inférieur. Clay. Évidement, personne ne pouvait résister à Alannah, qu'elle soit nue, habillé sex, où dans la boue... Elle avait un pouvoir à les faire tous tomber à ses pieds et à les lui cirer jusqu'à ce qu'elle en ait marre. Elle agrippa son cou avec un main, et rapprocha sa tête, arrivant à son oreille, lui chuchota:

-On dirait que je te manque déjà !?!

Elle resta près de lui, se laissant désirer sans bouger, puis s'éloigna de quelques centimètre.

-Mais ça ne sert plus à rien, pas la peine de te rattraper... Tu ne connais même pas mon prénom.

Elle laissa ancré ses yeux dans ceux de Clay, qui essayait de lire les siens, pensant que les perles d'Alannah lui avouerait son prénom. Alannah referma le premier bouton de sa chemise, et le second, sous les yeux désireux de Clay. Puis la demoiselle pensa qu'elle était venu alors pour rien, et que c'était bête, son petit plan n'aurait pas marché. C'étai inadmissible de rentrer chez sois ayant perdus. Et puis il était si prêt d'elle, qu'il avait déjà fait bouillonnait l'envie d'Alannah. Trop tard pour le laisser partir, sinon elle s'en voudrait à elle même... Alors elle lui dit:

-Du moins... je te laisse une chance. Alors cherche bien, et si tu trouves je serais à toi.

Elle avait dit le "je serais à toi" tout doucement, puis avait fini par lui faire un clin d'oeil.

-Je te laisse 40 secondes.

Elle passa sa main dans les cheveux de Clay puis commença à compter

C'était pas Marcia ? Merde alors. Pourquoi il faisait toujours ce genre de boulette ? D'habitude il avait du tact avec les femmes. Il ne lachait pas ce genre d'absurdités. Mais il n'était pas non plus du genre à fricter avec les copines de sa soeur. ncore moins quand il était amoureux. Comme ce mot sonnait bizarrement dans son esprit. Il n'avait jamais été amoureux. Il n'avait jamais imaginé sa vie avec quelqu'un d'autre. Les relations durables ? Trèès peu pour lui ! Sauf que là il devait se rendre à l'évidence. Avec Crystal il y avait un truc. Un truc de fou. Qui l'embarquait partout si elle ouvrait la bouche. Elle pouvait tout lui demander ! Il ferait même de l'auto stop jusqu'à Los Angeles si elle voulait. Tout pour ses beaux yeux, tout pour ses douces mains, pour sa voix et son corps.Ouais, un truc de fou. Que seuls les fous comme lui pouvaient comprendre.

-Tu me déçois Clay.Je crois qu'on en a finit... Il te reste plus qu'à rentrer en cour et à faire semblant de ne pas t'ennuyer. C'est bien dommage en tout cas.

Oh merde. Oh non ! Il ne voulait surtout pas retrouver ce prof gay à la voix soporifique et America qui allait encore faire un discours de trois mètres de long. Tout sauf ça. *Mais merde Clay, réfléchis ! Mad doit ressortir son nom trois fois en une heure.* Il devait y avoir un "A" dedans. Plusieurs même vu qu'il pensait à Marcia. Et puis ... Il leva les yeux pour capter son regard limite assassin et la voir partir comme une star de cinéma. On devrait interdir aux fille d'être si bonne actrice et de toujours trouver le point faible des hommes. C'était injuste. Et puis si cette nana voulait lui sortir le grand jeu, il allait jouer. Il savait jouer. Peut-être mieux qu'elle. Même si ça allait aboutir à quelques verres et galipettes et qu'il se sentirait plus que coupable, il allait entrer dans le jeu de séduction de la demoiselle. Et puis elle était belle. Alors autant s'amuser un peu. Il s'élança vers elle et l'attrapa par le bras. Sa main se referma doucement sur le poignet fin de la jeune fille. Ils s'échangèrent un sourire et elle posa la main sur sa nuque du jeune homme, éffectuant un rapprochement forcé. Clay savait que c'était loin d'etre fini. Elle lui murmura quelque chose puis s'éloigna avant d'ajouter qu'il était inutile de se rattraper. L'étudiant s'y connaissait assez en femme pour savoir qu'elle n'oublierait jamais cette hisoire de prénom et qu'il n'obtiendrait rien tant qu'il ne trouverait pas son nom. Elisa ? Magda ? Shaïna ? Anita ?

-Du moins... je te laisse une chance. Alors cherche bien, et si tu trouves je serais à toi.Je te laisse 40 secondes.

Mais oui il cherchait. Il ne faisait que ça. Maintenant qu'il avait attsé quelques braises, lui voulait allumer un feu. Maintenait il avait envie de cette fille, tellement bien faite, si saisissante. Il la voulait pour elle. Elena ? Oui ! Ca ressemblait à ça ! Il en était certain. Eleana ? Alaina ? Alannah ? Voilà ! Alannah van der Kamp. Ca lui revenait maintenant. Madison lui avait beaucoup bassiné avec son Elite, les projets de fête les menaces même contre cette fille. Paraît que c'était une lionne. Hmmm. Il avait bien envie de manger une féline pour le dîner.
Avec un sourire énigmatique, il attendit qu'elle arrive à la fin de son décompte. Et quand elle s'apprêtait à lancer une phrase qui mettrait fin à leur conversation, i la coupa. D'un geste délicat et précis il l'attira contre elle et murmura.

- Je suis sincèrement désolé d'avoir oublié un nom aussi beau que le votre miss Van der Kamp. Alannah.

Il marque une pause et décocha à la demoiselle un de ses sourires ravageur dont l avait le secret.

- Il te va à ravir.

Il la lâcha ensuite tout en gardant un petit sourire en coin et s'adossa au mur le plus poche. Bordel ! Qu'est-ce qu'il était sex ! Foi de narratrice qui bave derrière son ordi !

Elle s'approchait des 40 secondes petit à petit, et toujours rien. Alannah commença à perdre espoir. A 40, elle enlèverait sa main de son poignet, et tournerait les talons pour ne plus jamais retenter ce qu'elle voulait faire. Car une fille comme elle, ne pouvait pas se laisser tomber à ses pieds et lui pardonner d'avoir oublier son prénom qui sonnait tellement bien au lèvres des garçons. 39. Ca y est, elle avait perdu, elle ne pourrait jamais se vanter auprès de Mad' et de toutes les autres d'avoir couché avec CLAY EVANS. Elle jeta un dernier regard dans les yeux de Clay, quand ceux-ci s'éclaircirent et se mirent à briller. D'un geste délicat il l'attira contre elle. 40, et de sa bouche aux lèvres fines et rosée sortir le plus beau prénom qu'elle n'est jamais entendue ....:

- Je suis sincèrement désolé d'avoir oublié un nom aussi beau que le votre miss Van der Kamp. Alannah.

Alors là, elle ne pourrait que le pardonner. D'abord il s'excusé puis ensuite il avouait que son prénom était beau, ça aurait été un crime qu'il ne le dise pas. C'est trois "a" insistant sur la mélodie du prénom, le "L" qui faisait claquer la langue doucement contre le palais, et le "n" où le bout de la langue se coincé entre les dents. Clay s'y connaissait aux femmes, et cela se voyait tout de suite qu'il ne débutait pas mais qu'il avait grande connaissance en la matière. Les mots qui les faisaient les plus rougir et céder, il les employé, les gestes si doux, affectueux et tendres il les manipuler. Que pouvait-il y avoir de mieux que d'être sa proie, ou lui la sienne ? C'était enfin un fantasme qui allait se réaliser. Un petit sourire satisfait se pointa sur les lèvres d'Alannah et il continua:

- Il te va à ravir.

Maintenant Alannah souriait pour de vrai. Elle mourrait d'envie de lui dire "Oh arrête." mais au fond elle voulait qu'il continu encore et encore. Bien qu'il ne soit sans doute pas l'homme de sa vie. Il était encore trop tôt pour penser à se marier. Là tout de suite elle devait lui sauté dessus et saisir l'occasion de l'empoché. Elle posa ses mains sur la nuque du jeune homme, et approcha sa tête vers les lèvres de celui-çi. Elle les embrassa, tendrement, puis tout devint de plus en plus intense, elle finit par les arracher et les mordes, et collé sa poitrine au torse du jeune homme. Entre des baisers elle chuchota:

-Clay, j'ai envie de toi.

Il avait eu chaud sur ce coup là. Encore un peu et cette belle demoiselle lui aurait filé sous le nez. Heureusement que sont expérience lui avait permis de la garder. Son charme avait encore sauvé ses petites fesses de prince. Il voyait parfaitement que ses mots avait séduit la demoiselle et elle avait légèrement rosi de plaisir. Elle ne pouvait plus se dérober, il la tenait. Ca l'excitait de retrouver son jeu favori. La chasse. Voilà longtemps qu'il n'avait pas essayé de charmer une autre femme que sa fiancée. Et ça lui faisait plaisir de savoir qu'il n'avait pas perdu la main. Ce genre de choses, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. Et les résultats étaient satisfaisants puisqu'Alannah se mit à l'embrasser avec passion, se collant à lui. Elle poussa même jusqu'à lui murmurer qu'elle avait envie de lui. Voilà longtemps qu'une fille ne lui avait pas sorti le grand jeu comme ça. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Il mit tous ses remords de côté, tentant de ne pas penser à sa douce Crystal. Comme il s'en voudrait ensuite d'avoir trompé sa fiancée. Mais la vie taitainsi. Il y a des choses qu'on ne peut changer, comme le libertinage de Clay. Un Clay Evans fidèle ça ne peut pas exister. Alors partant de cette pensée, il caressa la joue d'Alannah, puis sa main descendit, effleurant son corps, appréciant les courbes généreuses. Puis il lui rendit son baiser avec fougue.

- Moi aussi ma belle. Mais d'abord, que dis-tu d'aller frimer un peu. Je meurs d'envie de montrer à tout le monde quelle chance j'ai d'être en votre compagnie.

Il comptait bien rendre jaloux certains et certaines. Retrouver cette sensation de heartbreaker qu'il avait perdu. Faire tourner la jeune fille en bourrique, lui tourner la tête, la combler et ensuite lui briser son joli petit coeur. Il craignait juste qu'en commençant à jouer, il ne trouve plus la fin et continue à faire des victimes après Alannah. Et surtout, il craignait que Crystal ne devienne une victime. Il ne voulait surtout pas la voir souffrir mais il ne voulait pas non plus mourir sans se mettre encore quelques demoiselles dans la poche. Coureur de jupons il était, coureur de jupons il restera.

- Moi aussi ma belle. Mais d'abord, que dis-tu d'aller frimer un peu. Je meurs d'envie de montrer à tout le monde quelle chance j'ai d'être en votre compagnie.

Cette idée, était une bonne idée. Il fallait avoué, plus de gens les voyaient flirté ensemble, plus de chance que les rumeurs ce propagent à la vitesse de la lumière pour que Madison soit au courante et meurt de jalouse. Elle imaginait déjà la reine dans un salon de pédicure, ouvrant son portable après un bip annonçant un nouveau message. Son visage tournerait du pâle, au rose, au rouge de colère, et elle casserait tout commençant par un vase de fleurs. Et puis, comme Alannah voulait venir dans cette université, elle aurait déjà une bonne réputation, et l'année prochaine, quand elle fera ses premiers pas sur les marches en marbres de l'entrée, tout les beaux gosses se jetterait sur elle criant "c'est la canon de Clay". Alannah resta un sourire sur les lèvres avant de répondre au beau briseur de coeur:

-Parfait. Rien de mieux que de voire des ratés bavé, et nous envié.

Elle lui fit un clin d'oeil, et accrocha sa main, à l'avant bras de Clay. Elle leva la tête haute et ils commencèrent leur petit tour dans tout les couloirs. Alannah ne paraissait plus vraiment à une petite secrétaire carrément canon, maintenant elle était la fille qu'on ne pouvait pas voir, ses cheveux lâche, rejetait une odeur de vanille, et son regard se planter droit comme une flèche perçant les coeurs, dans les regards des jeunes hommes autour qui pensait rêvé. Les autres filles (pas très belle d'ailleurs), la regardaient, et elle pouvait ressentir leur haine à travers leurs yeux globuleux. Alannah s'arrêta, soudainement, et prit le visage de Clay dans sa main. Tout le monde s'arrêta de bouger et regardaient se qui allait se passer. Étaient t'ils ensemble ? Où étaient-ce de bon amis ? Pleins de questions se poser dans leurs petits cerveaux malheureux. Alannah avait choisit le bonne endroit. Celui où il y avait le plus de monde, elle colla ses lèvres sur celles de Clay. Et pendant une bonne minute le silence régnait.